Pour bien commencer la semaine, quoi de mieux qu’un tournage dans une église du XIIIème siècle (s’il vous plait) avec la pop classe et intimiste de mister Anton Oak ? On vous invite dans les coulisses de notre session très cool à Saint-Eustache entre ambiances électroniques, cordes et patrimoine (sisi).

 

 

C’est reparti pour notre team de sportifs pour une semaine de glisse à la rencontre des artistes du futur sur le Prix Ricard S.A Live Music. On se met en condition avec une bonne bouffe dans le pire restaurant de Paris (promis on dénoncera pas), mais ça n’a pas empêché Romain notre ingé son de se lâcher sur le dessert : #grosventre

Ce lundi, nous avions donc rendez-vous avec Anton Oak aka le mec au clip ultra, méga, gavé COOL avec un casque de cosmonaute. Normal aussi, quand on se présente comme ayant un « univers cinématographique » dans sa bio. On retrouve énormément de promesses et d’influences variées sur le projet d’Anton : aussi bien de la folk que du hip-hop et de la drum’n’bass : un melting-pot bien classieux qui avait donné envie au jury de connaître la suite de l’histoire.

Anton Oak, ou Antoine Duchêne dans la vraie vie (ouais parce que Oak ça veut dire chêne en anglais #scoop) est dans la place en mode pull marin et bonnet rouge. L’homme du jour nous apprend qu’il est pote avec nos autres finalistes Big Junior, puisqu’il est comme eux lyonnais d’origine. Gros big up à Louis le régisseur de Saint-Eustache, grâce à qui nous avons pu réaliser cette session. En effet, le cadre du tournage, c’est « la salle des colonnes » de l’église Saint Eustache dans le 1er arrondissement de Paris #tadam.

[ DAY 5 ] Ça se met en place tranquillement pour la session de @anton_oak !

A photo posted by Ricard SA Live Music (@ricard_sa_live_music) on

On s’ambiance avant le tournage avec Rod qui balance a capella devant Saint-Eustache l’introduction du « Libera Me » de Gabriel Fauré. Ouais parce-que notre réal’ c’est aussi un ténor d’opéra (ou presque) mais aussi un habitué des lieux. Qui ne se souvient pas de sa super session avec le groupe Revolver dans le même lieu ? Bonne nouvelle, on apprend que la reverb’ du lieu a été divisée par trois depuis des travaux réalisés il y a tout juste un mois, ce qui va clairement nous permettre de casser Internet avec cette session. Quand on a une team qui a de la chance… (ou pas, comme le démontrera notre prochain article sur la session avec Dusk Totem).

La config’ pour la session est d’apparence classique : Anton joue de la guitare, et ses deux compères sont à la basse et à la batterie. On remarque que son batteur lâche quelques blasts sympas pendant les balances et on en conclue qu’il doit forcément avoir un passé de métalleux. Pas mal pour un musicien au sein d’un projet de pop délicate. Mais surtout, Anton a invité 4 musiciennes pour balancer des cordes bien sympas (challenge avec Refuge ?), en mode violons, alto et violoncelle.

A première vue (parce qu’on n’a pas encore tout entendu), la session d’Anton va être carrément classe, entre sons électroniques, instruments classiques et grosses progressions. Notre artiste oscille entre différentes esthétiques musicales et nous offre un vrai voyage. C’est l’heure de dire au revoir à tout le monde, mais on a du mal à rameuter Rod occupé à échanger avec nos quatre sympathiques musiciennes (pour des raisons purement professionnelles, c’est entendu).

A notre arrivée au hangar, Romain notre ingé son fait une petite feinte au toit du camion avec la porte du parking. Pas de panique la caution du van est toujours intacte (même si elle nous fait des petits clins d’œil de temps en temps). Attention il parait que l’angine s’est invitée chez un membre de la team. Notre plus grande peur désormais : la contamination. Rendez-vous au prochain épisode pour savoir de qui il s’agit, nous on se met en route pour les quatre coins de la France !

Pour ne rien rater des coulisses des sessions, rendez-vous sur notre compte #Snapchat :
https://www.snapchat.com/add/ricardsa_live

Crédit photos article: Rod Maurice.