Pour notre deuxième live session, Bandit Bandit nous donnait rendez-vous au Théâtre de Fourvière de Lyon.
© Rod Maurice
Bonjour Bandit Bandit ! Pour commencer, parlez-nous un peu de vous.
Hugo: Nous sommes Hugo et Maéva. Bandit Bandit a tout juste un an et on a sorti notre premier single en mars. On s’est rencontrés sur Tinder. On faisait des soirées où on était ivres, on chantait des chansons à la guitare. Maéva avait écrit quelques chansons et j’en ai écrit aussi par la suite. L’idée du groupe est venue par hasard, on avait des démos enregistrées un peu à l’arrache. Puis Maeva, qui travaillait dans la presse à l’époque, allait au Printemps de Bourges en covoiturage, et elle a mis son portable en shuffle. C’est comme ça qu’on a rencontré notre manager!
Avant Bandit Bandit, je jouais dans un projet de rock.
Maeva : De mon côté, j’ai toujours fait de la musique mais pas de manière professionnelle. J’ai eu un groupe de rock quand j’avais 13 ans et après je chantais dans les bars et je faisais des reprises mais rien de plus.
Où sommes-nous pour cette session ?
Bandit Bandit: Nous sommes au théâtre Gallo Romain de Fourvière, un vestige lyonnais. On a choisi ce lieu car ça faisait longtemps qu’on l’avait en tête. C’est parti du live à Pompeï de Pink Floyd, on voulait un truc dans le même style, grandiose, historique. Et le morceau qu’on va faire s’y prête : il a une fin un peu spatiale, qui donne une sensation de grandeur donc on voulait que l’image ait un rapport avec la musique.
Justement, quel morceau avez-vous choisi?
Bandit Bandit: Nous avons choisi Nyctalope. Alors Nyctalope ça existe vraiment ! C’est les chats qui sont nyctalopes par exemple, ils ont la capacité de voir dans la nuit. Ça parle de notre histoire et de nos débuts un peu houleux. On a choisi ce morceau parce que c’est notre premier single, c’est le titre qui nous a fait connaître, et on l’aime beaucoup.
© Rod Maurice
