C’est un pont entre Sebastien Tellier et Minitel Rose et un homme qui voit la vie à travers la visière d’un casque robotique. Les émotions dégoulinent à l’intérieur et ne peuvent pas s’extraire, le corps devient flasque, les os se cognent entre eux et l’humanoïde dodeline d’une manière un peu ridicule. Les sonorités kitchs risquent d’exploser les boutons, mais Anoraak s’en fiche, il assume et continue de courir au vent…
Une course qui l’emmènera le 17 mars au point éphémère.